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Franck - Les plaintes d'une poupée
Bonjour à tous ! Me revoilà après plus de deux mois d'absence.
Je vous avais laissé avec une pauvre poupée malade, et bien, ça ne s'arrange pas trop pour elle... Elle se plaint, la malheureuse, et César Franck l'a très bien exprimé dans cette composition. J'espère que ma prestation l'exprimera tout aussi bien.
Bonne écoute.
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Commentaires
Bonjour Serge,
Je suis ravie que tu reprennes le piano, ça a dû bien te manquer.
Ton morceau est très jolie, très doux et tu le joues parfaitement bien. Je suis toujours impressionné par tes belles vidéos et les poupées sont magnifiques :-)
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Samedi 12 Mars 2016 à 18:48
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Je suis contente de ton retour sur ton piano, c'est toujours un plaisir de venir écouter tes magnifiques interprétations comme celle-ci ... les plaintes de la poupée y sont très bien exprimées. Bravo Serge !!
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Samedi 12 Mars 2016 à 23:33
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C'est bon de t'entendre à nouveau et avec quel talent !
Oui, tu as bien retranscrit la mélancolie qui se dégage de cette mélodie dont l'auteur m'était totalement inconnu !!! J'aime beaucoup, pour moi ça ressemble à une berceuse de boîte à musique ...
Merci Serge !!!
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Dimanche 13 Mars 2016 à 10:05
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Bravo Serge, ça fait plaisir de voir que tu continues et que tu t'aventures sur des pièces peu connues. C'est très bien joué, merci pour le partage
Merci Laurent ! Ah oui, je continue ! Et c'est pas fini ! Et toi, il y a un moment qu'on ne t'entend plus...?
Je suis contente de t'entendre à nouveau Serge. C'est toujours un réel plaisir
J'aime la douceur avec laquelle tu interprètes cette composition et le diaporama est, comme d'habitude, tout à fait bien en symbiose avec le titre du morceau choisi.
Pour ceux et celles qui ne connaissent pas César Franck, voici quelques notes tirées du site suivant :
http://www.lamediatheque.be/travers_sons/franck.htm
"César Franck (1822 - 1890) est né à Liège. Il commença très tôt de brillantes études musicales; d'abord à l'Ecole royale de musique de Liège, fondée par Guillaume 1er, et dont il fut un des premiers élèves. Il entra, ensuite, au Conservatoire de Paris. Se soumettant à la volonté de son père qui voulait en faire un virtuose à l'égal de Liszt, le jeune musicien effectuera des tournées de concert en France, Belgique et Allemagne, pour lesquelles il compose des pièces de bravoure, assez superficielles. Cependant, les tensions entre le père et le fils deviennent vives et Franck, ulcéré par l'opposition de son père à ses projets de mariage, rompt avec lui et s'installe définitivement à Paris en 1844.
Pour assurer son existence, il donne des leçons de piano et tient les orgues de différentes églises parisiennes. La rencontre avec l'orgue symphonique de l'église de Saint-Jean - Saint-François du Marais, construit par Cavaillé-Coll, aura une influence considérable sur l'évolution de son oeuvre. Une longue période de réflexion trouvera une issue heureuse avec sa nomination, en 1858, au poste d'organiste de Sainte-Clotilde et, en 1872, de professeur d'orgue au Conservatoire de Paris. De cette époque dateront les grands chefs-d'oeuvre qui attestent du renouveau radical que Franck sut insuffler à la musique religieuse, alors décadente, qu'il remit sur la voie d'une fervente piété.
Sa réputation attira autour de lui de nombreux élèves, parmi lesquels Chausson, d'Indy, Lekeu, et son ombre s'étendit à plusieurs générations de musiciens.
Son influence fut également prépondérante sur toute l'école belge, jusqu'aux environs de 1920.
Son style est classique, avec un langage harmonique très riche, assez chromatique et teinté, parfois, de tonalités grégoriennes. Adoptant de préférence un cadre ternaire dans ses compositions, il y développe le procédé cyclique par lequel un même thème réapparaît dans les différents mouvements qui composent une oeuvre. Les trois chorals, écrits en 1890, sont une sorte de testament spirituel dans lequel il opère une synthèse monumentale des possibilités techniques de son époque."
Bravo Serge, bonne soirée et bonne semaine.
Bises amicales
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Dimanche 13 Mars 2016 à 22:16
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Je n'arrive pas à trouver le temps pour m'enregistrer (il me faut au moins la journée !!!) et du coup, je perds mes anciens morceaux que je n'avais pas pris le soin d'enregistrer... (À mon grand regret d'ailleurs, mais maintenant c'est trop tard : je ne peux plus rattraper lu sieurs morceaux et en plus faire des vidéos)... J'espère que je pourrai au moins enregistrer mes morceaux en cours...
Une bien belle mélodie que je ne connaissais pas non plus. Bravo pour ton interprétation Serge!!!..... Et toutes ces poupées plus tristes les unes que les autres, qui défilent dans ton montage vidéo, donnent vie à ton interprétation.
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Lundi 14 Mars 2016 à 17:42
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C'est vrai que cela fait longtemps que tu n'avais rien posté, cela fait fait plaisir de t'entendre de nouveau !
J'aime bien cette musique, assez énigmatique et triste aussi. tu la joues délicatement et on retrouve bien l'ambiance. bravo
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Mercredi 23 Mars 2016 à 18:26
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Ah j'ai raté pendant mon immobilisation (pour mêmes motifs que toi !) ... Tu enchaînes avec bcp d'humilité et de douceur ces notes pleines de délicatesse ! J'aime ce que tu fais ! Et je sens qu'il y avait des difficultés pourtant !
Bisous ravis
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Lundi 2 Mai 2016 à 21:39
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Je le joue celui-ci ! :) J'ai fait 9 ans de piano (dont 5 ans en conservatoire) alors je sais en jouer pas mal, mais je pensais pas que tu mettrais celui ci ! :D Mais oui en effet en plus c'est du César Franck alors ça se justifie facilement ! ^^
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Jeudi 13 Avril 2017 à 15:42
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Ravie de te savoir de retour devant ton piano !
Très belle interprétation, tu transmets très bien les plaintes des poupées de ton beau montage.
Je ne connaissais pas cette mélodie, merci pour cette découverte.
Merci Odile ! Et ravi de te faire découvrir ce joli morceau de César Franck.